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Une jeune femme, Lila K., fragile et volontaire, raconte son histoire. Un jour, des hommes en noir l'ont brutalement arrachée à sa mère, et conduite dans un Centre, mi-pensionnat mi-prison, où on l'a prise en charge. Surdouée, asociale, Lila a tout oublié de sa vie antérieure. Son obsession : retrouver sa mère, recouvrer sa mémoire perdue. Commence alors pour elle un chaotique apprentissage, au sein d'un univers étrangement décalé, aseptisé, où les livres n'ont plus droit de cité…
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L'auteure, une Japonaise installée
depuis dix ans en France, dresse le portrait et les travers des
Parisiens au quotidien : dans les transports, chez le médecin, lors d'un
dîner en ville. Elle fait le tour des façons d'être des Français, en
expliquant comment cela se passe au Japon.
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Guy Delisle et sa famille s'installent pour une année à Jérusalem. Mais pas évident de se repérer dans cette ville aux multiples visages, animée par les passions et les conflits depuis près de 4 000 ans. Au détour d'une ruelle, à la sortie d'un lieu saint, à la terrasse d'un café, le dessinateur laisse éclater des questions fondamentales et nous fait découvrir un Jérusalem comme on ne l'a jamais vu.
Comme il l'avait fait dans Chroniques birmanes, Guy Delisle a accompagné sa femme à Jérusalem pendant un an alors qu'elle travaillait comme coordonnatrice pour M.S.F.. Avec ses deux enfants, il raconte son quotidien de père de famille à la maison, ses visites, son travail de "croquiste" et la vie à Jérusalem en général.
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Sur les réseaux tout le monde pense connaître tout le monde. Tout le monde aime, surveille, espionne tout le monde. Mais désormais, une guerre est déclenchée, sur le web et dans le monde réel. Et Sixie, 15 ans, est l'enjeu, le butin, le gibier de tous les combattants...
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« Qui n'a jamais rêvé de devenir un objet ? Mieux même, un objet d'admiration ?
Tel est le pacte que scellent un artiste excentrique et un jeune homme désespéré. Le premier, avide de scandale, propose au second, avide d'exister, de le transformer en oeuvre d'art. Après tout, il n'a rien à y perdre, sinon la liberté. » Parce qu'il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme sur le point de se suicider accepte l'accord que lui propose un artiste mégalomane : celui-ci lui achète son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire. Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l'apparence, le totalitarisme de l'image : le nôtre.
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2027. Tandis que la France et le monde font face à de nombreuses catastrophes naturelles ou nucléaires, des écologistes extrémistes, regroupés sous le nom « Les Enfants de Gaïa » tentent de faire chavirer le pouvoir en place par leurs nombreuses manifestations. Diane a décidé de rejoindre son ami Léo pour une manifestation. Mais la violence d’un projectile de CRS la plonge dans un profond coma. Elle se réveille 10 ans plus tard et découvre le nouveau monde imaginé par Les Enfants de Gaïa…Mais derrière l’apparence utopique de ce monde, se cache une réalité bien plus sombre et très loin du monde dont Diane rêvait avec Léo…
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1957, Arkansas. Jeune fille noire, Molly est élevée par sa mère et sa grand-mère dans un contexte de ségrégation qui n'a pas changé depuis l'abolition de l'esclavage. Mais contre toute attente, Molly va faire partie du petit groupe d'étudiants noirs à intégrer pour la première fois un lycée public américain, jusqu'à présent réservé aux Blancs. La tension monte, aussi bien du côté des associations de Blancs (légales ou illégales : le Ku Klux Klan n'est pas loin) que de la communauté noire, qui va reprocher à Molly et ses nouveaux amis de leur attirer des problèmes. La jeune fille commence à craindre pour sa vie ; il faudra d'ailleurs l'intervention du Président des États-Unis contre le gouverneur raciste de l'Arkansas ainsi que le détachement de l'armée pour permettre à ces lycéens, pourtant désireux d'apprendre, de rentrer dans les salles de classe. Ce n'est que le début d'une longue bataille..
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Article de La Montagne du mercredi 16 avril 2014 |